Yosh!
Allez, c'est aussi l'heure du bilan de ces dernières semaines
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Dead Space Remake : Une refonte graphique et technique assez impressionnante de l'original avec aussi quelques petits éléments revisités de ci de là au niveau du gameplay (même si dans l'ensemble, c'est le même jeu). Agréablement surpris de l'implémentation d'une voix pour Isaac, dont je craignais pas mal qu'elle ternisse l'original, sauf qu'il n'en est rien. Le doublage (allemand, pour ma part, parce que... voilà) était de bien bonne facture et les dialogues, efficaces et fonctionnels, n'altèrent pas le jeu ni l'ambiance. Petit bémol en revanche sur le sound design, un poil plus timide et moins radical que dans l'original (même si ça reste très bien, hein).
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Resident Evil 4 Remake : Même avis que Master. Un gros, très gros kiff.
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the Secret of Monkey Island et Monkey Island 2 LeChuk Revenge - Special Edition : 2 des grands classiques du PnC de Lucas Arts ... Que je n'ai pas spécialement apprécié. Enfin, disons plutôt que si j'ai apprécié leur humour, leur ambiance, certains détournements habiles des mécaniques de gameplay (notamment dans le 1er) ainsi que la DA très soignée de ces remakes, je n'ai pas du tout adhéré à leur proposition ludique, ne faisant que confirmer que je n'étais clairement pas fan des jeux de type Point'n Click. Faire le jeu avec un guide sur les genoux à cause d'énigmes absconses et bien trop peu d'indice, ça ne m'a pas spécialement amusé. J'ai eu beau essayer de me "mettre dans la tête des développeurs" pour capter la logique, ça n'enlevait en rien le manque cruel d'informations pour avancer, ce malgré l'ajout d'un système d'indice dans ces versions.
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Psychonauts : Un titre que je gardais dans un coin de la tête depuis plusieurs années et dont la sortie de la suite il y a quelques temps maintenant, couplé à leur présence dans le gamepass m'a remotivé à me lancer. Une très bonne découverte, très content de l'avoir fait. L'ambiance est géniale et le jeu d'une rare cohérence dans sa manière d'articuler ses mécaniques et comment les justifier du point de vue de l'univers. Un carton rouge par contre pour ce qui concerne la progression, parfois assez... cryptique, probablement dû au bagage point'n click de Tim Schaffer et de son équipe de développement. Mais, contrairement aux Monkey Island, je n'ai jamais pesté contre le jeu et j'ai bien mieux accepté cet aspect "rentrer dans la tête des développeurs" pour comprendre la logique des énigmes (une démarche cocasse au vue de la thématique du jeu), probablement parce que celles ci étaient mises au coeur d'un gameplay de plate forme/action 3D qui me parle bien plus et dont je connais aussi mieux les codes. J'ai aussi pu en grande partie retrouver l'humour assez typique des Monkey Island dans ce titre, ce qui m'a, d'un certain côté, rassuré quant au fait que je n'aurai pas besoin de me farcir les autres PnC Lucas Arts pour pouvoir en profiter.
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Crash Bandicoot 4 It's About Time : Un jeu qui m'avait pris par surprise quand j'en avais maté des speedruns avec un level design que j'avais trouvé assez ouf et qui m'a remis une claque aussi puissante après avoir pris la manette. C'est fin, très juste dans son rythme, impeccable dans sa courbe de difficulté, carré dans son gameplay et, à de très rares exceptions se comptant sur les doigts d'une main, incroyablement fluide dans son level design. De la très, très bonne plate forme 3D et, de mon point de vue, le meilleur opus de la série.
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Super Mario Bros. 2 Lost Levels - Super Mario All Stars : Fait en émulation hein (parce que faut pas déconner non plus), ce qui fut amplement suffisant pour constater le degré de maboulitude des level designers avec des niveaux à la difficulté lunaire et avec des "énigmes" parfois assez pétées du casque. C'était très intéressant à faire mais clairement, je n'aurais jamais eu le courage de me le faire "à la loyale"
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Gears of War 4 : commencé, joué une paire d'heures puis abandonné. C'est beau, ah ça, pas de soucis, mais alors qu'est-ce que c'est chiant et monotone... Quand tu en arrives à décrypter toute une zone passée le seuil de sa porte d'entrée en prévoyant d'un simple coup d'oeil d'où vont arriver les vagues et quand, c'est qu'il y a un gros souci de construction... Beau, mais creux.
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the Eye of Typhoon : un versus NeoGeo qui m'intriguait pas mal, complètement nanardesque et concon avec un feeling très double dragon mais qui se révèle finalement assez désagréable à jouer en solo, la faute à une courbe de difficulté à la Art of Fighting 2, c'est à dire complètement pété, à moins d'exploiter lâchement les abus de certains personnages. Probablement bien plus fun et drôle à jouer en versus avec des potes qu'en solo, mais vu que je n'ai pas vraiment d'adeptes de pugilat 2D assez intéressés par les titres un peu hors zone dans mon entourage, ben c'est compliqué d'en profiter à plusieurs.
Pour la suite du programme, ce sera :
- the Evil Within 2 (commencé une paire d'heures, j'en suis au chapitre 4)
- Doom Eternal (commencé aussi 3-4h)
- Signalis (juste fait l'intro)