[NOSTALGIE] Souvenirs de retrogamers...

[gentux]

Bon bon d'accord.
Il était une fois
Non, je me souviens juste ma 1ère fois avec ma Playstation.
Hiver 1998, déjà plusieurs années qu'on joue avec notre Megadrive I.
Sonic 1, Sonic 2, Sonic & Knuckles, Sonic Spinball, Mr Nutz, Asterix & the Great Rescue, Ristar et j'en passe. L'ennui n'était pas permis à cette époque.
Arriva l'heure du choix des cadeaux pour Noël ; mais que veulent donc ces enfants ?!

Après effeuillage de La Redoute et des 3 Suisses (on va direct aux dernières pages, on le sait tous ), je vois cette belle Playstation qui me fait de l'oeil.
Allez c'est parti, on fait la lettre au père Noël.
C'est bien beau de choisir la Playstation, mais.. quel jeu prendre avec ?
Bon allez va pour ce joli dragon sur la jaquette. Comment s'appelle-t-il déjà ? Ah oui, Spyro.
Lettre finie, je la donne à ma mère.

Les jours passent jusqu'au jour où, ma mère nous dit à moi et mon frère :
"Vous voulez essayer votre cadeau avant Noël ?"
Qui aurait dit non ?!
Et v'là pas qu'elle descend la Playstation en boîte scellée avec Spyro sous blister.
J'aurai bien aimé voir ma tête à ce moment-là.
Tels des guerriers, on ouvre la boîte, on sort tout, c'est le bordel parterre, mais c'est pas grave.
On branche la bête à la télé et on commence à jouer à Spyro..

A suivre...

[Punkzen]

J'vais vous parler de l'un de mes premiers vrais souvenirs de retrogamer : comment j'ai découvert Metal Gear Solid.

Il était une fois un petit garçon qui aimait beaucoup les jeux vidéos. Il avait joué toute son enfance mais, ne s'étant jamais aventuré dans le domaine des jeux réservés à un public "mature", il était cramponné aux mascottes de son enfance comme Mario, Sonic, ou les Pokémon.

Puis vint juin 2008. La sortie de Super Smash Bros. Brawl. Le petit garçon, qui avait adoré l'opus Melee, attendait fébrilement cet épisode Wii depuis presque un an. Il connaissait par coeur la liste des personnages, mais malgré tout, un des personnages restait pour lui une énigme. Ce personnage, c'était Solid Snake. Mais qui était donc ce barbu de trois jours avec son bandana et ses habits de soldat qui se battait avec des missiles et des grenades dans un jeu où Pikachu mettait des torgnoles à Link ? Le petit garçon devait en savoir plus.

Alors il se renseigna ; et il découvrit que Solid Snake appartenait à une série nommée Metal Gear Solid. Une série, disait-on, au scénario absolument magique et aux personnages inoubliables. Un jeu au gameplay unique et à l'ambiance fantastique. Le petit garçon était captivé. Mais il n'avait aucune console Sony ; sa déception était grande. Alors le petit garçon découvrit l'émulation. Et, tout heureux de cette découverte providentielle, il commença à jouer à Metal Gear Solid.

C'était pendant l'hiver 2009. Il faisait froid, mais le coeur du petit garçon brûlait. Il découvrait que le jeu vidéo n'était pas fait que de couleurs acidulées et d'animaux anthropomorphes ; que le jeu vidéo, c'était aussi des histoires tragiques, noires, pleines de maturité et d'amertume, à l'image de la vie elle-même. C'était comme une révolution dans son esprit ; tout ce qu'il avait connu lui paraissait bien vide à présent.

Et quand le jeu s'acheva, que le coup de téléphone final fût donné, le petit garçon n'était plus. Il était devenu un jeune homme.

étrangement , j'ai connus Metal Gear Solid un peu de la même façon , mais c'est vachement plus tard que j'ai joué à Metal Gear Solid , premier du nom .

Sinon un souvenir que j'ai , qui m'a vraiment marquer , c'est celui de pokemon Crystal .

J'était tout jeune , c'était en 2001 , je prenais mon petit déjeuner devant la télévision ( quand elle était encore intéréssante ) , et d'un coup , une pub pokémon , le nouveau pokémon :

http://www.ina.fr/pub/culture-et-loisirs/video/PUB2346206063/pokemon-cristal-final.fr.html

Possédant déjà pokemon or , mais étant un grand fan , je fais tout pour l'avoir , et la , je le reçois , pas une seconde a perdre , je commence le jeu , magnifique introduction .
Puis je lance l'aventure , et , même si j'avais déjà finis la version or , je joue , et ne m’arrête plus .

Resultat des courses : 394h de jeux . Je n'ai pas jouer a un autre jeux durant tout ce temps .

[ledenezvert]

Polop !!

Teenage Mutant Ninja Turtles fût donc mon 1er jeu NES... J'ai été captivé dès l'intro par la musique et l'animation des sprites : wow, que c'est bien rythmé, et ça bouge bien !! Je presse START comme me le demande l'écran-titre et c'est parti ! Alors B pour attaquer et A pour sauter, ça va je vais gérer La 1ère qualité de TMHT est d'avoir des commandes assez intuitives



Niveau 1 : forcément celui que j'aurai fait le + même s'il se termine très rapidement dès qu'on sait quelles bouches d'égoûts pour atteindre le boss. Je n'ai pourtant jamais pu m'empêcher de traverser les 1er égoûts du jeu alors qu'ils ne servent à rien, on peut les contourner très facilement en évitant un rouleau-compresseur sur la route... Je ne sais pas, peut-être qu'inconsciemment j'ai toujours préféré passer un peu de temps à me battre en vue de côté pour être certain de ne pas me faire écraser bêtement et de perdre une tortue en vue de dessus dès le début, va savoir 2ème bouche d'égoût : raah les 2 affreux du DA dont j'ai oublié le nom ont enlevé April O'Neill !! J'en bat un mais le second s'enfuit, je l'aurai ! Et je visite le reste du niveau à la recherche du kidnappeur, en me rendant vite compte de certaines choses : déjà plein d'endroits ne servent à rien d'autre qu'à nous faire perdre du temps (dès qu'on connaît le chemin par coeur - et ce n'est pas bien compliqué ici - on trace !), et comme les options reviennent dès lors qu'on sort et qu'on rentre à nouveau dans un même endroit, il est vite facile de se refaire une santé ou de faire le plein d'armes secondaires Bon le boss de fin de niveau bouge beaucoup, il faut être vif et frapper avec des armes "longues" pour éviter de se faire toucher... Tiens, et si je remontais à droite et tapais vers le bas avec Donatello et son bâton ? Oh ça marche, c'est un peu + long mais au moins c'est une technique sûre Et voilà, la journaliste est sauvée



Niveau 2 : ça commence à se corser, il faut monter tout au haut du barrage (mouais) puis sauter dans l'eau et désamorcer plein de bombes avant la fin du compte-à-rebours Et en + il y a plein de pièges : les algues électriques, celles qui vous bouffent une tortue direct et vous êtes bon pour recommencer , les faisceaux électriques, etc... On alterne entre les tortues dès qu'une n'a plus beaucoup d'énergie pour ne pas la perdre et on essaie de trouver le chemin le + rapide et le moins meurtrier à la fois, pas facile... Mais comme beaucoup de jeux de l'époque, c'est du par coeur, et je trouve vite le moyen de traverser le niveau sans trop de dégâts pour mes parties ultérieures



Niveau 3 : celui qui m'aura le + bloqué !! Maître Splinter a été enlevé par l'ignoble Shredder (la cut-scene est géniale ) qui nous parle dans la télé (avec la main qui traverse même l'écran, il rigole pas lui !)Bon, déjà il faut récupérer les missiles pour le van pour commencer, afin de pouvoir détruire les barrières sur la route et d'avancer dans le niveau... Non seulement le bâtiment où ils se trouvent est haut et bourré d'ennemis (et en + il faut se le taper 2 fois car il faut bien 20 missiles pour traverser le niveau au minimum, mais ça je ne le saurai qu'après ), mais je tombe à chaque fois juste avant de pouvoir les chopper Ce n'est qu'à force d'essayer tout et n'importe quoi que je me rends compte qu'il me suffisait de continuer à marcher normalement, non mais WTF ??!! Bon quand on le sait ça passe comme une lettre à la poste, mais quand on ne le sait pas, on s'énerve vite Après il faut trouver son chemin dans ce dédale de routes qui se croisent (ou pas) pour arriver au dernier bâtiment du niveau... Une horreur, c'est ce qui m'a le + fait galérer dans ce niveau !! Au préalable, on pensera bien à faire le plein d'armes de jet (les "kaï" si je ne dis pas de bêtises) pour au moins 2 tortues (genre Raphaël ou Michaelangelo, celles qu'on utilise le moins en somme pour éviter de tout perdre bêtement en ramassant sans le vouloir une autre arme secondaire ) car elles sont déjà faciles à récupérer dans ce niveau et surtout car elles seront bien utiles + tard



Bref, le dernier bâtiment est déjà bien gardé (on remarquera qu'en entrant - sortant - entrant à nouveau, on peut faire varier les ennemis qui s'y trouvent, c'est assez pratique...) mais c'est surtout qu'il faut traverser des égoûts en sautant de plate-forme en plate-forme SANS avoir le malheur de tomber dans l'eau car sinon on est bon pour recommencer le bâtiment dans son intégralité (oui, les tortues ninja savent nager sans problème près d'un barrage mais pas dans des égoûts bizarrement ). On avance à tâtons, on essaie de tuer les ennemis à distance pour avancer de façon sûre, on essaie de bien jauger les sauts mais ce n'est VRAIMENT pas évident du tout... Quand j'y arrive ENFIN pour la première fois, je me rends compte que j'ai oublié de prendre des cordes pour arriver enfin au boss de fin de niveau et je retombe... De l'autre côté du dernier bâtiment qui me fait tant suer Là je suis devenu vraiment méchant Une fois (un peu) calmé, je réussis à retraverser ces foutus égoûts après plusieurs tentatives, utilise ces foutues cordes, et le (double) boss n'a pas compris sa douleur Maître Splinter est sauvé...



A suivre... Tout de suite !

[ledenezvert]

Polop !!

Niveau 4 : on est à l'aéroport pour prendre notre dirigeable mais comme par hasard c'est un vrai labyrinthe, et les ennemis sont coriaces J'ai lu dans un magazine le chemin à suivre mais il faut faire gaffe si on ne veut pas mourir surtout dans certains passages avec une sorte de lave fatale mais surtout à 2 reprises avant le boss quand il faut descendre des étages sans perdre de temps sous peine de se faire écraser entre des murs/pièges qui se rapprochent dès qu'on arrive On perd vite toutes nos tortues et on est bon pour recommencer le niveau en entier quand on ne connaît pas le chemin par coeur... Le boss est d'une simplicité enfantine dès qu'on se place bien en dessous de lui avec Donatello et qu'on ne cesse de taper vers le haut On prend le dirigeable, direction le repaire du Foot Clan !



Niveau 5 : il fait nuit, la musique est un peu oppressante, il ne faut pas se faire repérer et mais aller visiter les égoûts toujours aussi mal famés pour trouver le boss, le technodrome, et rentrer dedans pour aller enfin donner des coups de pieds aux fesses de l'immonde Shredder Pas très long, ni très difficile par rapport au niveau précédent, mais le fameux technodrome n'est jamais au même endroit et soit on a de la chance et on tombe dessus au 1ers égoûts, soit on en visite plusieurs en évitant de prendre trop de dégâts (car on va avoir besoin d'avoir des forces pour le dernier niveau ). Une fois devant la base ennemie, on reste bien à l'écart à gauche et se sert enfin de ses kaïs récupérés au niveau 3 pour détruire petit à petit et méthodiquement ce boss Et voilà, on rentre enfin dans le niveau ultime...



Niveau 6 : le niveau 3 m'avait bloqué pas mal de temps, mais ce n'est rien comparé à celui-ci La faute non pas au chemin à parcourir (une fois qu'on sait par où passer... Encore une histoire de par coeur ) mais à la difficulté des ennemis, SURTOUT ces *µ$^%¤§:! de mecs en jetpacks armés de fusils lasers !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Le dernier couloir est une véritable torture vidéoludique, il y en a partout, ils vous poursuivent si vous ne les tuer pas, l'espace de combat se rétrécit, on ne cesse de se faire toucher, on alterne les tortues, on essaie de se battre au mieux avec toutes les armes à notre disposition (celles de jet de préférence pour ne pas être trop au contact de ces sales bêtes). J'ai vraiment beaucoup pesté contre ce "couloir de la mort" comme je le surnommais à l'époque (et encore aujourd'hui ), je n'arrivais jamais à le traverser sans mourir... Et j'ai beaucoup essayé, croyez-moi !!! Heureusement que j'ai eu d'autres jeux que j'ai pu finir car cela aurait très bien pu me dégoûter des jeux vidéo, c'est pas humain une difficulté pareille



Ce n'est que bien + tard, une bonne douzaine d'années après avoir jeté l'éponge que je m'y suis remis, et que par miracle, j'ai ENFIN réussi à atteindre Shredder... Je n'avais qu'un demi carré de vie par tortue, autant dire que je prenais un coup et j'étais mort, mon coeur battait très fort, j'avais du mal à me calmer. Le choix était vite fait, je devais prendre la tortue la + forte, Donatello et son long bâton encore une fois, et essayer de faire ce que je pouvais alors que je ne connaissais absolument rien de ce boss final, de ses mouvements, de ses attaques, rien, le néant absolu J'étais grave dans la merde mais je n'étais jamais arrivé aussi loin, et l'occasion ne se représenterait peut-être jamais, vaille que vaille, il fallait y aller, tenter le tout pour le tout, c'était un instant à saisir, après tant d'années de JV derrière moi, tant de tentatives avortées, tant d'entraînement sur ce jeu, tant de frustration... J'étais remonté comme jamais : Shredder, je vais tout te donner, tu vas prendre cher, très cher pour m'avoir fait subir tant d'humiliations, yaaaaaaahhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Il est resté bloqué à sautiller sur la plate-forme où il était apparu pendant que je le frappais sans relâche à coup de bâton, et il mourût... A ce moment là, le temps s'était comme arrêté, j'avais vaincu Shredder, j'avais ENFIN fini TMHT putain de bordel de merde !!!!!!!!! Il n'y avait personne pour me voir le faire, pour partager ce moment incroyable de ma vie de joueur, mais tant pis, je l'avais fait, et à la loyale, je le savais et c'est tout ce qui m'importait... La fin était risible, pathétique, pitoyable, comme souvent sur NES, une fin qui n'est bien évidemment pas à la hauteur de tant de persévérance et de souffrance psychologique, mais ça je m'en doutais un peu, je m'y étais préparé... Puis j'ai posé la manette au sol, attendu que le jeu redémarre, laissé tourner l'intro en boucle 2 ou 3 fois le temps de réaliser pleinement que j'avais vaincu le tout premier jeu NES que j'ai jamais possédé... Je pense que je ne me suis jamais autant acharné sur un jeu et que je ne m'acharnerai + jamais autant. Et j'ai fini par éteindre la console et la télé. Rideau.

[groju]

Un superbe jeu, mais très dur, assurément!

[kazeus]

Puis j'ai posé la manette au sol, attendu que le jeu redémarre, laissé tourner l'intro en boucle 2 ou 3 fois le temps de réaliser pleinement que j'avais vaincu le tout premier jeu NES que j'ai jamais possédé

je faisais exactement le même lorsque je finissais un jeu nes! j'avais l’impression d'avoir couru un marathon

[seb]

ah tmht
j'y ai passé des heures a l'epoque avec mon frere on a usé la console et la cartouche a jouer dessus

mais on a jamais reussir a le finir, faudra que je reteste un de ces jours

[lorddar30]

Mon meilleur souvenir de retrogameur c'est assurément un mois de juillet 1993 avec comme jeu Zelda a link to the past.
Mon cousin a passé un mois à la maison et on a fait fumer la super nintendo jour et nuit.

Chacun avait son rôle, lui la quête et moi les bosses des châteaux and Co.

Jeu fini après 26 jours d'acharnements. Mais quel souvenir SNIF.

Vivement que je croise Doc avec sa doloreane.

[anonyme26]

Noël 94 ou 95 je ne sais plus bien

toute la famille se trouve chez les grands parents maternels, je suis avec mes cousins avec qui je squatte régulièrement la Master system et la mega drive quand je vais chez ma tante. ils sont un peu plus âgés que moi et commence à s'intéresser à autre chose que les JV. Viens le moment des cadeaux. à cette époque l'existence du père Noël et déjà derrière moi et je m'apprête à déballer cette grosse boite qui me fait de l'oeil depuis le début de la soirée que je vois les cadeaux sous le sapin...

j'imagine tout les scénarios possibles... une énorme boite de lego, la station spatiale ou l'énorme château fort... peut être une superbe boue de playmobil.. je trépigne d'impatience et viens enfin mon tour, je me jette sur la boite et que vois je Jeremy et Sophie... damn ! c'est pour nous deux j'abandonne l'idée des lego... on commence à déballer ... mais... mais c'est pas possible mes parents ont craqué... un pack super Nintendo avec super Mario world et super Mario all star Oo j'en suis tout retourné. je me jette dans les bras de ma mère et verse une larme devant cette surprise incroyable mais aussi devant le sacrifice que cela représentait pour mes parents.






À cette époque il était vraiment difficile d'imaginer mes parents dépenser cette somme folle pour une chose aussi subjective à l'époque qu'un jeu vidéo. J'ouvre le boîte avec ma sœur et on commence à sortir tout à tout regarder dans tout les sens... il se fait tard ma mère nous propose de rentrer à la maison essayer notre cadeau ( à quelques centaines de mètres de chez ma grand mère) ni une ni deux on rentre à la maison avec la console sous le bras (enfin pas vraiment j'aurais eu du mal à porter un si gros carton) et je prend en otage mon cousin habitué des consoles qui sera charger de la mettre en place car à mon jeune âge il m'est interdit de bidouiller la Tv.

une fois la maison la console branché c'est parti... Mario bros pendant quelques heures ... si bien que j'en ferais des cauchemars la nuit voyant ce con de moustachu finir dans un trou !

s'en suivra des échanges de jeux en pagaille avec mes camarades de classes, la collègue de boulot de ma mère qui faisait l'intermédiaire pour nous prêter des jeux et grâce à qui j'ai découvert street fighter, donkey kong, killer instinct, speed racer, Mario kart, pendant que moi et ma sœur harcelions ma mère pour un roi lion, Aladin, DKC2, Mario si missing.

De magnifiques souvenirs, qui me rapelle aussi mes grands parents et les Noëls passé chez eux.


je vous raconterai bientôt Noël 98 et l'arrivée de la N64 sous le sapin qui restera pour moi le souvenir le plus marquant et ça se ressent beaucoup dans ma collection

[Masterlord]

je vous raconterai bientôt Noël 98 et l'arrivée de la N64 sous le sapin qui restera pour moi le souvenir le plus marquant et ça se ressent beaucoup dans ma collection

Oui, elle était facile.

[gentux]

je vous raconterai bientôt Noël 98 et l'arrivée de la N64 sous le sapin qui restera pour moi le souvenir le plus marquant et ça se ressent beaucoup dans ma collection

Oui, elle était facile.

J'ai réussi à anticiper ton 2ème spoiler.
T'es trop prévisible.
A ton âge t'es pas encore au lit ?

[Masterlord]

Moins tu dors, plus t'es fort.

[gentux]

Je suis faible.
A demain.

[Guryushika]

Mon 1er contact avec un jeu vidéo c'était en décembre 89', j'avais 6 ans.
Mon père m'avait offert le pack Master System 1 avec Alex Kidd intégré et le jeu The Ninja (que j'ai toujours ), à l'occasion de Noël ou la Saint-Nicolas (fête en Belgique où les parents disposent des cadeaux sur la table du salon à l'aube du 6 décembre) je ne sais plus laquelle.

Je n'avais jamais demandé de jeux vidéos et j'étais encore dans mes Dino Riders et Maîtres de l'Univers, mais j'ai vite accroché à ce "nouveau monde".


Quelques années plus tard, un samedi, pour mon anniversaire ou une autre fête, j'étais à fond sur une paire de rollers, et je croise dans un magasin Cora le chemin d'un pack Mega Drive II: l'action pack Mega Games 2 + Sonic 2. Là je m'arrête, je le regarde, il me regarde, je le regarde... je commence à baver devant Streets of Rage, un jeu auquel je rêvais de jouer depuis si longtemps, et ce Sonic 2...

- "Papa... je peux prendre ça à la place s'il te plait?"
- "Tu ne voulais pas des rollers?"
- "Si mais... je sais plus"
- "C'est soit l'un soit l'autre mais pas les deux, choisis"
- "Celui-là ..."

Je l'ai déballé le soir même, chez ma grand-mère,
et c'est sur sa vieille télé à cadre en bois que j'ai découvert pour la première fois la suite des aventures du hérisson bleu...

Arrêtez de chialer, tapettes.

[BadTaste]

Au début des années 90', j'avais un ami qui possédait une NES. Quand j'allais chez lui, je passais de nombreuses heures à jouer avec lui sur cette merveilleuse console. Et comme tout gamin, il me fallait absolument ce qu'avait mon copain (les gosses j'vous jure...) !

Je rentrai donc un jour à la maison et demandai à mes parents de m'en acheter une. Naturellement, à la vue du prix, mes parents avaient catégoriquement refusé. Je ne comprenais pas... Pourquoi mon copain avait cette console avec plein de jeux et que moi, je n'avais même pas le droit de l'avoir avec un seul (j'ai compris plus tard qu'avoir un père comptable et une mère propriétaire d'un magasin de vêtement ça aidait pas mal à l'époque, contrairement à mon père qui était ouvrier et à ma mère qui avait décidé de rester à la maison pour m'élever).

Le samedi, c'était le jour des courses et chaque samedi, je passais inlassablement dans le rayon jeux vidéos et je m'arrêtais devant cette précieuse NES en essayant à chaque fois de convaincre mon père de me l'acheter et à chaque fois j’essuyais le même refus. Je repartais donc déçu en suivant mes parents qui se pressaient de finir leurs courses.

Un jour de décembre, à l'approche des fêtes de Noël, mon père me prit par l'épaule et me dit : "Viens on va voir la Nintendo". Je me souviens encore lui avoir répondu, frustré : "A quoi ça sert de toute façon tu ne veux pas me l'acheter !". A ce moment là, j'ai remarqué que mon père avait un petit sourire en coin. Allait-il vraiment me l'acheter au bout de nombreux mois d'insistance ? Je n'y croyais pas vraiment... Mais arrivé dans le rayon, mon père me dit alors : "Choisis celle que tu veux". Je n'y croyais pas, j'étais sur-excité ! Je sautai alors dans les bras de mes parents pour les remercier et tout content, je me suis mis à scruter les nombreux packs disponibles avant d'arrêter mon choix sur le Control Deck avec Isolated Warrior.



Puis vint l'attente jusqu'à Noël. Ça fut long, très long car je savais que le matin du 25 décembre, j'aurais ma NES à moi. Arriva le matin du 25 décembre, j'étais tout excité. Mes grand-parents arrivèrent pour le repas de midi avec un gros paquet sous le bras. Je l'ouvris et découvris alors une télé 36cm flambant neuve "pour que je puisse jouer à la console quand je le désirais". Je déballai donc ma télé et ma console afin de brancher le tout et de commencer à m'amuser sur cette merveilleuse machine que j'avais tant attendu d'avoir.

C'est ce jour là que ma grande histoire d'amour avec les jeux vidéos a commencée.