Le Forum des cartoucheurs* : Discussions générales sur les jeux et consoles rétros.
*cartoucher : action jouer à des jeux rétros
#217740 par TeknoRider
17 Mai 2014, 11:54
Moi , je me suis mis a Dust : An elysian tail sur xbox . Merci le games with gold pour m'avoir fait decouvrir cette oeuvre d'art . ( que je comptait quand meme essayer ) . Waaa les decors *bave*

Le jeu est inspiré de rayman 1 j'ai l'impression .
#217755 par Dilendeau
17 Mai 2014, 12:21
Et bien voilà c'en est fini de Chrono Trigger sur snes après 17h de jeu, vraiment agréable avec des quêtes secondaires vraiment intéressantes pour mieux apprendre à connaitre les autres membres de son équipe et une histoire, des thème abordés vraiment novateurs pour l'époque.
#217759 par Gunpei
17 Mai 2014, 12:27
Dilendeau a écrit:Et bien voilà c'en est fini de Chrono Trigger sur snes après 17h de jeu, vraiment agréable avec des quêtes secondaires vraiment intéressantes pour mieux apprendre à connaitre les autres membres de son équipe et une histoire, des thème abordés vraiment novateurs pour l'époque.


17h ce n'est pas très long je trouve. Bravo tout de même. Tu as fais la totalité des quêtes annexes ? Tu n'a plus qu'à te faire plaisir avec le "new game +" pour découvrir la dizaine de fin causé par le vortex. :wink:
#217761 par Skate
17 Mai 2014, 12:39
chrono trigger, une vraie perle ce jeu :)

bon sinon moi je suis toujours sur RE6. je viens de finir le chapitre 2. toujours aussi plaisant :)
#217791 par Dilendeau
17 Mai 2014, 13:45
Gunpei a écrit:
Dilendeau a écrit:Et bien voilà c'en est fini de Chrono Trigger sur snes après 17h de jeu, vraiment agréable avec des quêtes secondaires vraiment intéressantes pour mieux apprendre à connaitre les autres membres de son équipe et une histoire, des thème abordés vraiment novateurs pour l'époque.


17h ce n'est pas très long je trouve. Bravo tout de même. Tu as fais la totalité des quêtes annexes ? Tu n'a plus qu'à te faire plaisir avec le "new game +" pour découvrir la dizaine de fin causé par le vortex. :wink:


Toutes les quêtes annexes de faites, le jeu n'est pas bien dur, mais le plaisir était là (après avoir tant bavé sur une soluce du jeu faite par Greg dans un joypad, ça fait quelque chose de faire enfin ce jeu là...)
Oui, faudra que je tente le new game +, pour l'instant je vais le laisser en stand by et commencer/continuer un autre jeu.
#217797 par Kikosaurus
17 Mai 2014, 14:20
Gunpei a écrit:
Dilendeau a écrit:Et bien voilà c'en est fini de Chrono Trigger sur snes après 17h de jeu, vraiment agréable avec des quêtes secondaires vraiment intéressantes pour mieux apprendre à connaitre les autres membres de son équipe et une histoire, des thème abordés vraiment novateurs pour l'époque.

17h ce n'est pas très long je trouve. Bravo tout de même. Tu as fais la totalité des quêtes annexes ? Tu n'a plus qu'à te faire plaisir avec le "new game +" pour découvrir la dizaine de fin causé par le vortex. :wink:

C'est pourtant la durée de vie moyenne du jeu, il m'avait fallu environ 19 heures pour le finir avec toutes les quêtes annexes. La deuxième fois, à peine 14 heures... Mais il est clair que ça reste un véritable monument de la console, et du RPG japonais tout court.
#217836 par Acerbatus
17 Mai 2014, 22:24
J ai decide de ressortir Wario Land 4 sur GBA suite au topic sur la GB et les discussions sur Super Mario Land 3 .

J avais toujours ma partie du coup j ai pu refaure directement le jeu en hard .
Ce jeu est vraiment un de mes jeux de plateformes preferees avec des environnements varies , la difficulte adequate et des boss geniales ( pas facile en hard avec 4 coeurs et encore il y a un niveau de difficulte au dessus )
#217841 par Kikosaurus
17 Mai 2014, 22:52
Super Metroid fini, je n'ai pas eu le cœur de faire les derniers allers-retours pour obtenir les 100 %. Je vaincs donc Mother Brain en 6 heures 54, avec 97 % d'objets collectés. See you next mission, comme ils disent...

Et je viens de terminer (l'ayant commencé deux heures plus tôt) un titre que je me promettais de faire depuis des mois : Journey. J'avais soigneusement suivi le conseil de Denez qui m'avait conseillé de ne rien lire sur le jeu pour ne pas gâcher mon expérience, et je vous enjoins à suivre vous aussi son conseil. Ce qui suit n'est donc à lire que si vous avez fini le jeu, ou n'êtes pas du tout intéressé par celui-ci.

Voici ce que j'ai à en dire : au début de la partie, j'ai été assez déçu, presque ennuyé. Le jeu s'apparentait plus à un grand couloir camouflé sous l'apparence de dunes, qu'on traversait bêtement en activant un ou deux mécanismes. Pire encore, dans le deuxième environnement visité, il fallait faire des allers-retours pour activer des mécanismes nécessaires à la progression, avec un personnage qui se traîne horriblement. C'était plat, inintéressant, la direction artistique était quelconque (du sable, du sable, beaucoup de sable), les musiques tout juste médiocres (les classiques "thèmes d'ambiance orchestrés mais pas trop un peu comme dans Shadow of the Colossus en moins épique en fait", oubliables au possible) ; j'étais prêt à débarquer sur le forum et à vilipender comme un malpropre les critiques dithyrambiques reçues par le jeu.

Toute la première partie est de cet acabit, répétitive et pas mémorable pour un sou. Il y a quelques mécanismes "secrets" à activer en s'écartant du chemin principal, mais c'est très ennuyeux (du fait de la lenteur du personnage) et inutile, et j'ai dit que j'arrêtais de m'acharner sur mes jeux pour les finir à 100 %, dont acte. Les seuls passages sympathiques sont les glissades sur sable qui ponctuent les débuts de chapitre, c'est rafraîchissant, ça dure juste assez longtemps pour ne pas être ennuyeux, et la musique est assez enjouée pour qu'on se prenne au jeu. Mais les choses s'améliorent vers le début de la seconde heure de jeu, lorsqu'on arrive dans le "niveau sous-marin". Ambiance feutrée, calme, puis plus anxiogène lorsqu'il faut éviter les léviathans et leur caméra de surveillance loupiote de la mort. J'ai bien aimé, d'autant plus que la musique jouait enfin un rôle important et soutenait bien l'action.

La partie suivante (l'ascension de la tour) est répétitive et basée sur un gimmick digne des pires moments de Zelda. Rien à ajouter, le momentum acquis pendant la partie précédente vole en éclats. On arrive enfin à l'ultime chapitre : l'ascension de la montagne. Au début, c'est tranquille : un peu de neige, un peu de vent, on se cache derrière des stèles pour se protéger des bourrasques, tiens c'était pareil dans Chrono Trigger. Et puis la neige et le vent s'intensifient, la pente se raidit, une couche de glace se forme petit à petit sur le manteau de notre personnage. La progression est plus lente, les pas sont plus lourds. J'arrive dans un immense champ de neige, où m'attendent deux léviathans. Angoisse. Je tourne en rond, déboussolé, ressentant presque le froid, balayé par la tempête, cherchant une issue que je trouve après une bonne dizaine de minutes. Je suis hagard, mais poursuis pour traverser le col qui s'ouvre dans moi. Après avoir grimpé quelques escaliers, on y est : le sommet. Le paysage est ravagé, déchiré par le vent, le froid, et les éclairs qui s'abattent sur la cime. J'avance péniblement. La morsure du froid s'insinue en moi. Je suis balayé de tous côtés par le vent, ne sais plus où aller. Après une ascension interminable, le temps se calme. Le silence tombe sur le manteau blanc. Mon manteau est désormais entièrement congelé. Un pas. Un autre pas. Je ne sais plus depuis combien de temps je marche. A bout de forces, complètement détruit par les conditions extrêmes, je m'effondre sur le sol.

Une lumière chaude m'entoure. Je renais, entouré d'une nuée étincelante. Mon corps est léger, je m'élève au ciel jusqu'à atteindre une boule lumineuse aveuglante. Le paradis ? Le ciel est d'un bleu azur, le soleil brille, les monceaux de neige sont désormais d'immenses torrents qui irriguent chaque crevasse de la montagne, et je m'envole vers le sommet, entouré par des rais de lumière et plongé dans une sorte de transe incroyable. Arrivé au bout de mes pérégrinations, je m'avance enfin vers la source lumineuse que je contemplais depuis le début de mon périple. Elle est d'un blanc aveuglant. J'avance. J'avance encore. J'ai l'impression de me perdre dans la blancheur. Puis... je disparais.

Voilà. Le final de Journey, à partir de la deuxième moitié de l'ascension de la montagne jusqu'à la toute fin, est d'une beauté incommensurable qui m'a presque mis les larmes aux yeux. L'alternance absolument parfaite entre la violence des éléments alors que l'on grimpe le sommet avant de s'effondrer mort de froid, et la joie pure, l'énergie de la séquence du "paradis" (d'ailleurs portée par un thème musical vraiment magique) est un très grand moment de jeu vidéo. Il n'y a que peu de moments, dans ma vie de joueur, qui m'ont fait ressentir une émotion si vive. Malheureusement, le jeu en lui-même est tout à fait moyen, la faute à un concept qui s'essouffle vite et une vraie pauvreté dans le level design comme dans la bande-son. Jouez à Journey pour sa fin, et oubliez tout le reste.

Ah oui, l'histoire est inexistante. Il y a des pseudo-cinématiques avec un pseudo-symbolisme qui a tellement peu de sens qu'on peut probablement lui donner n'importe quelle pseudo-interprétation. Bref, on s'en fout.
#217925 par Mik3
18 Mai 2014, 14:17
GTA V, 95% d'accompli :) me reste vraiment plus grand choses. Les pièces de vaisseau, des cascades et 2/3 missions !
Je vais enfin pouvoir passer à autre chose.
#217939 par Skate
18 Mai 2014, 15:29
yosh!

fini la campagne de chris dans RE6, ben c'était bien sympa :) par contre, j'ai commencé la campagne de Jake, et c'est déjà bien moins amusant :| l'infiltration c'est vraiment pas mon truc, et elle est assez relou ici en plus, pour ne rien arranger ...
#217947 par Kikosaurus
18 Mai 2014, 17:30
Je viens de terminer Flower, qui est présent sur la Journey Collector's Edition avec le jeu dont j'ai parlé hier, ainsi que flOw. Par où commencer...

Au début, c'est sympathique. Les couleurs sont chatoyantes, l'idée originale, la musique complimente bien l'action. A ce moment-là, je me dis "bon, ça ne va pas être le jeu du siècle, mais c'est toujours intéressant à découvrir". Puis vient le deuxième niveau, assez similaire au premier, mais plus rapide. Et là, le drame commence...

Pour ceux qui ne connaîtraient pas Flower, voici l'idée qui sous-tend le gameplay : vous êtes un pétale de fleur. D'une pression sur n'importe quel bouton, vous provoquez un souffle de vent qui propulse votre pétale. En faisant pivoter votre manette autour des axes X et Y d'un repère orthonormé direct (sisi, prépa scientifique rpz :lol:), vous orientez la course de votre pétale. Vous devez toucher des fleurs pour les faire éclore, et faire grossir le nombre de pétales que vous contrôlez, afin de progresser. En théorie, une bonne idée. En pratique, souvent un calvaire. Je m'explique : il est impossible de moduler la puissance du vent. Soit vous soufflez à toute berzingue, soit vous bougez à peine. Du coup, il est extrêmement difficile d'être précis dans ses déplacements, ce qui amène souvent le joueur à tout arrêter, se retourner laborieusement, et repartir vers la fleur qu'il a manqué sur son chemin. Et cela se produit de façon récurrente, ce qui casse toute possible impression de fluidité ; on ne peut pas décemment avoir un gameplay fluide quand on avance avec l'aisance d'un papillon et qu'on se retourne avec celle d'un semi-remorque. J'ajoute à cela le fait que les motion controls ont une précision vraiment approximative, ce qui crée une frustration non nécessaire.

Le jeu est très court (à peine 1h15), pourtant j'ai voulu m'arrêter plusieurs fois en cours de route, ce qui ne m'était pas arrivé dans Journey. La palme du pire niveau revient à l'avant-dernier : il est gris, terne, moche (oui c'est en phase avec le thème du niveau, mais zut, on peut faire un paysage dévasté sans foutre un filtre noir dégueulasse partout) et culmine dans une séquence de pseudo-labyrinthe où il est presque impossible de se repérer et où on tourne en rond jusqu'à enfin croiser tous ces foutus bouquets de fleurs. Insupportable. Seul le dernier niveau sauve les meubles avec un message qui a le mérite de ne pas être horriblement cliché : au lieu de combattre les méchants industriels en recréant une nature sauvage et complètement vierge, on restaure un paysage urbain, mais où la nature et les constructions humaines sont en équilibre et où l'un n'empiète pas sur l'autre. Bien vu.

Qu'est-ce que je retiens de Flower ? Presque rien. Contrairement à Journey qui montait en puissance au fur et à mesure de la partie pour un final en apothéose (je le considère quand même comme un jeu moyen), Flower est intéressant cinq minutes, le temps qu'il lui faut pour faire le tour de son concept avant de se noyer dans des gimmicks mal fichus. Quand je pense qu'il a été encensé par tout le monde, et que toutes les critiques se sont répandues en louanges...

Bon, je vais passer pour un vieil aigri avec ce dernier paragraphe, mais sincèrement, c'est quoi cette mode du "jeu vidéo contemplatif" ? Toutes ces "expériences" qui se veulent les successeurs spirituels de jeux comme Ico ? Il suffit de mettre des jolies couleurs, un concept abstrait, et un peu de musique d'ambiance pour faire "une oeuvre d'art bouleversante", maintenant ? Ico avait une vraie force émotionnelle, deux personnages auxquels on s'attachait, une mise en scène fondée sur le silence, les non-dits, un gameplay qui reflétait les tourments du héros (la longueur des combats, liée à la faiblesse du garçon et de ses coups de bâton). Tout était mesuré, équilibré, et faisait preuve d'une vraie sensibilité. Maintenant, j'ai l'impression qu'avec une histoire cryptique, un gameplay non conventionnel, et un peu de musique douce, c'est la foire aux "10/10 best game of all time" et aux "an unforgettable experience, video games are truly art". Un peu moins de masturbation intellectuelle ne serait pas de refus, hélas.
#217966 par Mik3
18 Mai 2014, 19:02
La vitesse du vent peut se gerer vec n'importe quel bouton, du coup avec les stick ou les gachettes on peut gérer cette accelereation ;)

La jouabilite de Flow elle est pas ergonomique du tout je trouve.
#217991 par Mario86
18 Mai 2014, 20:17
Ce qui est marrant avec Flower et Journey, c'est qu'ils entrent en effet dans ce cadre que tu as justement décrit comme du "jeu contemplatif", typiquement le genre de truc sur lequel aiment se branler les élitistes à deux balles au même titre que les films d'auteur, les bouquins plus ou moins "intellectuels" ou la musique indépendante. Ce que j'ai tendance à détester en général, alors que j'ai adoré les productions de thatgamecompany. Je trouve le premier absolument sans prétention, le second l'est un peu davantage et se sait/veut onirique d'emblée, mais touche là où il faut quand même à mon goût.
#218002 par Kikosaurus
18 Mai 2014, 20:44
Mario86 a écrit:Ce qui est marrant avec Flower et Journey, c'est qu'ils entrent en effet dans ce cadre que tu as justement décrit comme du "jeu contemplatif", typiquement le genre de truc sur lequel aiment se branler les élitistes à deux balles au même titre que les films d'auteur, les bouquins plus ou moins "intellectuels" ou la musique indépendante. Ce que j'ai tendance à détester en général, alors que j'ai adoré les productions de thatgamecompany. Je trouve le premier absolument sans prétention, le second l'est un peu davantage et se sait/veut onirique d'emblée, mais touche là où il faut quand même à mon goût.

En lisant ton message, je me rends compte qu'il serait bon que je précise ceci : je ne considère absolument pas ceux qui ont joué à Journey ou Flower et qui les ont réellement appréciés comme des élitistes, loin de là. Ces deux jeux sont clairement des titres qui cherchent à faire vibrer une certaine corde émotionnelle. Malheureusement, dans mon cas, le manque de rythme (rythme n'est pas synonyme d'action, je trouve Ico très bien rythmé bien que ce soit un jeu extrêmement calme ; il s'agit plus de la façon dont le cheminement se déroule) pour Journey et le gameplay boiteux pour Flower m'ont empêché de les considérer comme vraiment intéressants (même si, je le reprécise, j'adore la fin de Journey, complètement imparable). La fin de mon message n'était pas directement dirigée contre le jeu, plus contre le public (et la presse) qui veut se donner un genre faussement intellectuel en criant au messie dès qu'un titre sort des sentiers battus et propose quelque chose de différent, même si ce quelque chose n'est pas bon.

Bon, pour désamorcer cette discussion qui va finir en "Le jeu vidéo est-il de l'art ?" (ce troll est tellement mauvais que je n'y crois pas moi-même :lol:), sachez que je comble un manque dans ma culture vidéoludique en m'adonnant au "cultissime" (*toussote*) Mario Golf : Toadstool Tour sur Gamecube. Riez pas, quand j'étais gamin j'avais une fascination pour les jeux de sport estampillés Mario sur Gamecube ; j'ai saigné Mario Smash Football et Mario Power Tennis (bon en même temps j'avais un jeu tous les trois mois à cette époque, donc il fallait rentabiliser les 60 euros de maman :lol:) mais ne m'étais jamais essayé au golf avec la bande au plombier. C'est marrant, mais je ne peux pas y jouer plus d'une heure de suite, je m'ennuie trop. Ah, et je crois que la malédiction des jeux de sport Mario va refaire surface dans ce titre, une fois encore : l'I.A qui sait pas tenir un club en Facile et en Normal et qui finit par calculer les trajectoires potentielles de la balle à coup d'études physiques complètes en Difficile... :roll:

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