Fini Xenogears après 50 h de jeu. Voilà un résumé de l'expérience, test style.
Dans la même veine qu'un Metal Gear Solid, Xenogears pose des questions éthiques, morales, philosophiques, religieuses et s'amuse à dérouter le joueur pendant presque quarante heures avant de s'accélérer brutalement et de devenir un des meilleurs scripts qu'ait produit le monde vidéoludique. Sombre, noir, et résolument adulte (il y a quand même des références à des génocides et l'un des personnages jouables a failli devenir prostitué !), Xenogears ne plaira pas à tout le monde en raison de ses cinématiques très nombreuses, de son scénario d'une complexité telle qu'il vous faudra à coup sûr lire des résumés sur Internet pour bien tout comprendre, et de son CD2 qui est essentiellement composé de cinématiques (à cause de problèmes de budget). Mais je ne peux que trop vous le recommander si vous aimez les scénarios passionnants pouvant faire l'objet d'une double lecture très profonde. Dommage en revanche qu'il y ait trop de combats aléatoires et que la caméra soit parfois capricieuse.
ET LA FIN. LA FIN.
La seule fois où j'ai été autant mystifié par la fin d'un jeu, c'était dans Metal Gear Solid 2, pour vous donner une idée.
Dans la même veine qu'un Metal Gear Solid, Xenogears pose des questions éthiques, morales, philosophiques, religieuses et s'amuse à dérouter le joueur pendant presque quarante heures avant de s'accélérer brutalement et de devenir un des meilleurs scripts qu'ait produit le monde vidéoludique. Sombre, noir, et résolument adulte (il y a quand même des références à des génocides et l'un des personnages jouables a failli devenir prostitué !), Xenogears ne plaira pas à tout le monde en raison de ses cinématiques très nombreuses, de son scénario d'une complexité telle qu'il vous faudra à coup sûr lire des résumés sur Internet pour bien tout comprendre, et de son CD2 qui est essentiellement composé de cinématiques (à cause de problèmes de budget). Mais je ne peux que trop vous le recommander si vous aimez les scénarios passionnants pouvant faire l'objet d'une double lecture très profonde. Dommage en revanche qu'il y ait trop de combats aléatoires et que la caméra soit parfois capricieuse.
ET LA FIN. LA FIN.
La seule fois où j'ai été autant mystifié par la fin d'un jeu, c'était dans Metal Gear Solid 2, pour vous donner une idée.

J'aime les avions, Shenmue, et Pink Floyd.