Warning
Ce post contient : De l'humour douteux, des propos et des images à la limite de l'insoutenable, des allusions sexuelles entre hommes du même sexe masculin, des attaques sans arguments solides ainsi qu'un true patriotisme omniprésent et peut donc heurter la sensibilité des plus jeunes lecteurs.
Vous êtes prévenus !
Yop everyone (ou Polop !! pour certains) !
Pour célébrer mon 1000ème post (je trouve toujours des raisons pour descendre MGS2), j'ai l'honneur et le plaisir de vous offrir le premier (et très certainement dernier) numéro de "Contre-Expertise"TM (c)(R), la rubrique qui fait repasser les jeux au Controle Technique. Le principe est simple, je prend un jeu au hasard (le hasard à voulu que pour le N°1 ce soit Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty (tirage effectué sous controle d'un huissier )) et nous allons voir ensemble (enfin, c'est surtout moi qui décide) si il passe ou si il casse.
Il vaut mieux avoir terminé les jeux suivants avant de lire cet étron : Metal Gear Solid, Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty.
Ce numéro de "Contre-Expertise"TM(c)(R) ne peut, ni être remboursé, ni être échangé contre une véritable contre-expertise pour la Renault 5 du grand-père.
Vous êtes bien installés dans votre fauteuil ? Nous pouvons donc commencer. Nous vous souhaitons une agréable lecture.
Que pouvons-nous dire sur le second opus de Metal Gear Solid si ce n'est qu'il est excellent, sublime, avec des graphismes époustouflants pour de la PS2, une ambiance et une musique hors norme, un héros virl doté un charisme de fou furieux et une putain d'échelle qui troue l'cul. Aucun doutes là dessus, Snake Eater est bien le dign... Comment ça c'est le numéro trois ? Il y a eu un autre MGS entre le premier et Snake Eater ? Comment vous dites... Saunes offe liberti ? Rédaine ? Vous êtes sûr de ne pas confondre avec un autre jeu ?
Et malheureusement (oui moi je suis comme ça, je spoile mon opinion sur le jeu dès les premières lignes) non, ils ne confondent pas avec un autre jeu, Snake à bien fait son grand retour (Hum..) sur PS2 avec Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty, un jeu plutôt bien acueilli par la presse internationale (pour preuves, je vous renvoie au test de Kikosaurus, fan de MGS depuis 1883) et par une partie des fans (les plus fous). Seulement, une question subsiste, Snake a-t'il réellement réussi son passage sur la 128bits de Sony, ou c'est-il lamentablement vautré tel Otacon devant le Ninja ? Réponse trois lignes au dessus (ou à la fin de l'article, pour les plus fous d'entre vous).
Une intro qui envoie du lourd.
A peine le jeu inséré dans la grosse Bertha qu'il envoie la sauce. La cinématique (retenez bien ce mot) d'introduction est juste à couper le souffle. On retrouve notre reptile préféré bouger dans tout les sens sur un theme magnifiquement orchestré par Harry-Gregson Williams, de l'adrenaline en barre (ou plutot en galette). Je peux vous dire que quand on vient de terminer MGS premier du nom et qu'on voit ça, on part changer son caleçon (enfin si l'on est un homme, il faut un minimum quand même) que l'on vient de trouer et/ou de tacher. On redescend sur terre pendant quelques secondes, le temps d'appuyer sur Start et de lancer une nouvelle partie et Kojima nous revoie au Septième ciel avec un openning plus qu'excellent, y'a pas à chier, le nippon gère coté mise en scène, il aurait du faire du cinéma ce bonhomme (On me signale dans l'oreillette que Metal Gear Solid 5 est prévu pour 2013 en 3D et IMAX dans vos salles équipées. :trollpasbeau:). Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty apparaît à l'écran, suivi d'une phase (interminable) de codec resuivit d'une cinématique et Kojima nous lache enfin dans la nature, pour notre plus grand plaisir : Gameplay amélioré, Graphismes améliorés, putain que ça sent bon, je ne veux pas quitter ce Tanker.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin.
Après quelques péripéties, le Tanker coule, Ocelot se barre avec le MG et les ennuis commencent, pas dans le jeu, les ennuis commencent pour nous. On retrouve "Sn... Sna.... (c'est dur à dire) Snake" quelques années plus tard (deux ans de mémoire) dans une combi sous'marine qui nous fait étrangement penser à l'intro du premier MGS (il parait que c'est fait exprès mais chuuuut c'est une surprise).
Et là c'est le drame.
Comme vous l'avez compris, ce Snake est un imposteur ! Cette blondinette n'est autre que la tumeur de ce jeu (entre autres) connue sous le nom de Raiden (sauf que celui ci ne lance pas d'éclairs). Pour vous résumer l'horreur de la chose on passe de ça :
http://www.youtube.com/watch?v=c3ETCsZAss0
A ça :
http://www.youtube.com/watch?v=NMmebfEh9uI#t=9s
Ou plus troublant encore :
http://www.youtube.com/watch?v=ctP1Jso4G30#t=38s
On en arrive à se poser certaines questions...
J'aimerai bien te croire mon cher Raiden.
Et cet/te homme/femme (choisissez comme bon vous semble) nous accompagenera dans toute la suite du jeu, aux environnement fades et identiques. La tanker nous semble déja bien loin hélas. Et si seulement il n'y avait que ça...
Si tu clignes des yeux, t'es mort !
Le second point noir du jeu est son scénario. Loin de moi l'idée de penser une seule seconde que ce dernier soit mauvais (quel beau remplissage de ligne, j'en bave encore), il est juste très très très très très [...] très compliqué (et vogue un peu trop dans le sur-réaliste à mon gout). Dans les dernières heures du jeu il devient impossible de prendre une pause pipi sous peine de ne plus rien comprendre, résultat, soit les plus perséverant vont se couper du monde extérieur pour essayer de comprendre le tout (si toutes fois il y a un truc à comprendre) soit le joueur lambda met son cerveau de coté et laisse ses mains se débrouiller pour enfin voir le bout de cette attrocité. On rajouttera enfin, que la combat final est d'une maniabilité calamiteuse.
Conclusion
Sans être un mauvais jeu pour un joueur ne connaisant pas le premier épisode, Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty se révèle être très décevant pour le fan de Solid Snake, rajoutez y des environnements peu variés et un héros au charisme d'une huitre pas fraiche... A éviter.
Points Forts :
- Le Tanker
- La première partie du jeu
- Quand on contrôle Snake (au début du jeu)
- Le Game Over du Tanker
- Quand on fait nouvelle partie et qu'on commence à jouer
- Le passage of Raiden retrouve Snake (et des vetements par la même occasion)
- Les musiques
- La mise en scène
Points Faible
- Raiden
- La blondasse qui fait des galipettes à poil
- La tapette qui sert de héros
- Le fait qu'on ne controle pas Snake
- La Big Shell
- Ce qui se passe après le tanker
- Le gros WTF scénaristique
- Raiden
- L'Anacylclique de Nediar.
- Les environements.
- Et Raiden.
Verdict
Non ce jeu n'est pas pour le vieux fan.
Désolé d'avoir baclé le tout (on le ressent sur la fin je pense ), je voulais vraiment faire un super truc bien construit avec des passages videos et tout mais je ne peux pas rester bloqué à 999 éternellement et puis je suis fatigué.
J'ai pas encore fini la mise en page, désolé pour les yeux.
* S'enfuit *
Ce post contient : De l'humour douteux, des propos et des images à la limite de l'insoutenable, des allusions sexuelles entre hommes du même sexe masculin, des attaques sans arguments solides ainsi qu'un true patriotisme omniprésent et peut donc heurter la sensibilité des plus jeunes lecteurs.
Vous êtes prévenus !
Yop everyone (ou Polop !! pour certains) !
Pour célébrer mon 1000ème post (je trouve toujours des raisons pour descendre MGS2), j'ai l'honneur et le plaisir de vous offrir le premier (et très certainement dernier) numéro de "Contre-Expertise"TM (c)(R), la rubrique qui fait repasser les jeux au Controle Technique. Le principe est simple, je prend un jeu au hasard (le hasard à voulu que pour le N°1 ce soit Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty (tirage effectué sous controle d'un huissier )) et nous allons voir ensemble (enfin, c'est surtout moi qui décide) si il passe ou si il casse.
Il vaut mieux avoir terminé les jeux suivants avant de lire cet étron : Metal Gear Solid, Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty.
Ce numéro de "Contre-Expertise"TM(c)(R) ne peut, ni être remboursé, ni être échangé contre une véritable contre-expertise pour la Renault 5 du grand-père.
Vous êtes bien installés dans votre fauteuil ? Nous pouvons donc commencer. Nous vous souhaitons une agréable lecture.
Que pouvons-nous dire sur le second opus de Metal Gear Solid si ce n'est qu'il est excellent, sublime, avec des graphismes époustouflants pour de la PS2, une ambiance et une musique hors norme, un héros virl doté un charisme de fou furieux et une putain d'échelle qui troue l'cul. Aucun doutes là dessus, Snake Eater est bien le dign... Comment ça c'est le numéro trois ? Il y a eu un autre MGS entre le premier et Snake Eater ? Comment vous dites... Saunes offe liberti ? Rédaine ? Vous êtes sûr de ne pas confondre avec un autre jeu ?
Et malheureusement (oui moi je suis comme ça, je spoile mon opinion sur le jeu dès les premières lignes) non, ils ne confondent pas avec un autre jeu, Snake à bien fait son grand retour (Hum..) sur PS2 avec Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty, un jeu plutôt bien acueilli par la presse internationale (pour preuves, je vous renvoie au test de Kikosaurus, fan de MGS depuis 1883) et par une partie des fans (les plus fous). Seulement, une question subsiste, Snake a-t'il réellement réussi son passage sur la 128bits de Sony, ou c'est-il lamentablement vautré tel Otacon devant le Ninja ? Réponse trois lignes au dessus (ou à la fin de l'article, pour les plus fous d'entre vous).
Une intro qui envoie du lourd.
A peine le jeu inséré dans la grosse Bertha qu'il envoie la sauce. La cinématique (retenez bien ce mot) d'introduction est juste à couper le souffle. On retrouve notre reptile préféré bouger dans tout les sens sur un theme magnifiquement orchestré par Harry-Gregson Williams, de l'adrenaline en barre (ou plutot en galette). Je peux vous dire que quand on vient de terminer MGS premier du nom et qu'on voit ça, on part changer son caleçon (enfin si l'on est un homme, il faut un minimum quand même) que l'on vient de trouer et/ou de tacher. On redescend sur terre pendant quelques secondes, le temps d'appuyer sur Start et de lancer une nouvelle partie et Kojima nous revoie au Septième ciel avec un openning plus qu'excellent, y'a pas à chier, le nippon gère coté mise en scène, il aurait du faire du cinéma ce bonhomme (On me signale dans l'oreillette que Metal Gear Solid 5 est prévu pour 2013 en 3D et IMAX dans vos salles équipées. :trollpasbeau:). Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty apparaît à l'écran, suivi d'une phase (interminable) de codec resuivit d'une cinématique et Kojima nous lache enfin dans la nature, pour notre plus grand plaisir : Gameplay amélioré, Graphismes améliorés, putain que ça sent bon, je ne veux pas quitter ce Tanker.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin.
Après quelques péripéties, le Tanker coule, Ocelot se barre avec le MG et les ennuis commencent, pas dans le jeu, les ennuis commencent pour nous. On retrouve "Sn... Sna.... (c'est dur à dire) Snake" quelques années plus tard (deux ans de mémoire) dans une combi sous'marine qui nous fait étrangement penser à l'intro du premier MGS (il parait que c'est fait exprès mais chuuuut c'est une surprise).
Et là c'est le drame.
Comme vous l'avez compris, ce Snake est un imposteur ! Cette blondinette n'est autre que la tumeur de ce jeu (entre autres) connue sous le nom de Raiden (sauf que celui ci ne lance pas d'éclairs). Pour vous résumer l'horreur de la chose on passe de ça :
http://www.youtube.com/watch?v=c3ETCsZAss0
A ça :
http://www.youtube.com/watch?v=NMmebfEh9uI#t=9s
Ou plus troublant encore :
http://www.youtube.com/watch?v=ctP1Jso4G30#t=38s
On en arrive à se poser certaines questions...
J'aimerai bien te croire mon cher Raiden.
Et cet/te homme/femme (choisissez comme bon vous semble) nous accompagenera dans toute la suite du jeu, aux environnement fades et identiques. La tanker nous semble déja bien loin hélas. Et si seulement il n'y avait que ça...
Si tu clignes des yeux, t'es mort !
Le second point noir du jeu est son scénario. Loin de moi l'idée de penser une seule seconde que ce dernier soit mauvais (quel beau remplissage de ligne, j'en bave encore), il est juste très très très très très [...] très compliqué (et vogue un peu trop dans le sur-réaliste à mon gout). Dans les dernières heures du jeu il devient impossible de prendre une pause pipi sous peine de ne plus rien comprendre, résultat, soit les plus perséverant vont se couper du monde extérieur pour essayer de comprendre le tout (si toutes fois il y a un truc à comprendre) soit le joueur lambda met son cerveau de coté et laisse ses mains se débrouiller pour enfin voir le bout de cette attrocité. On rajouttera enfin, que la combat final est d'une maniabilité calamiteuse.
Conclusion
Sans être un mauvais jeu pour un joueur ne connaisant pas le premier épisode, Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty se révèle être très décevant pour le fan de Solid Snake, rajoutez y des environnements peu variés et un héros au charisme d'une huitre pas fraiche... A éviter.
Points Forts :
- Le Tanker
- La première partie du jeu
- Quand on contrôle Snake (au début du jeu)
- Le Game Over du Tanker
- Quand on fait nouvelle partie et qu'on commence à jouer
- Le passage of Raiden retrouve Snake (et des vetements par la même occasion)
- Les musiques
- La mise en scène
Points Faible
- Raiden
- La blondasse qui fait des galipettes à poil
- La tapette qui sert de héros
- Le fait qu'on ne controle pas Snake
- La Big Shell
- Ce qui se passe après le tanker
- Le gros WTF scénaristique
- Raiden
- L'Anacylclique de Nediar.
- Les environements.
- Et Raiden.
Verdict
Non ce jeu n'est pas pour le vieux fan.
Désolé d'avoir baclé le tout (on le ressent sur la fin je pense ), je voulais vraiment faire un super truc bien construit avec des passages videos et tout mais je ne peux pas rester bloqué à 999 éternellement et puis je suis fatigué.
J'ai pas encore fini la mise en page, désolé pour les yeux.
* S'enfuit *